ELOISE COTTY

NEWS / PRESS

An Auszug aus dem Stuttgarter Zeitung/ Stuttgarter Nachricht

articlePhoto : Janine Kuehn

der Link zum Artikel

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johanaForum Kunst Rottweil, Friedrichsplatz, 78628 Rottweil

06.07.2018 – 19.08.2018 19:00

Die Studierenden der Klasse Güdemann präsentieren ihre Arbeiten:

Eloise Cotty, Yongchul Kim, Jinjoo Lee, Claudia Magdalena Merk,

Alessia Schuth, Weiran Wang, Johanna Wittwer, Ivan Zozulya

Eröffnung: Freitag, 6.Juli 2018, 19 Uhr
Laufzeit: 07.07.–19.08.2018

Öffnungszeiten: Di, Mi + Fr 14–17 Uhr, Do 17–20 Uhr, Sa + So 10–13 Uhr + 14–17 Uhr
www.forumkunstrottweil.de

Johanna Wittwer aus: „It´s complicated“, 2018, Zeichnung auf Pappe, 4 x 5,5 cm

 

 

Flyer Das bisschen Weltscherz Kopie-2

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Cover Agora 42

« 2009 gründeten wir die agora42, damals noch mit dem Untertitel: Ökonomie, Philosophie, Leben. Das rief zu Beginn Kopfschütteln hervor: „Ökonomie und Philosophie, wie passt denn das zusammen?“ Heute ist der Zusammenhang selbstverständlich. »
By courtesy of Tanja Will & Wolfram Bernhardt
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WER IST DAS MÄDCHEN AUF DEM COVER?

„Mein Bild Scandal ist eine Anspielung auf das Gemälde ‘Junge Waise auf dem Friedhof’ des französischen Malers Eugène Delacroix.“, so die Malerin éloïse Cotty. Delacroix malte 1824 ein junges Mädchen, dass mit entblößtem Dekolleté und geröteten Wangen auf dem Friedhof sitzt. Seine Gemälde waren außergewöhnlich leidenschaftlich und lebendig, mit ausdrucksstarken Farben. Allzuoft erschütterte er damit die Pariser Gesellschaft des 18. Jahrhunderts. Cotty übersetzt diese heimliche Erotik in die moderne Welt der Cyber-Beziehungen. In Zeiten, in denen junge Mädchen intime Bilder von sich im Internet posten, wird das Gemälde von Delacroix zu einer lasziven Anordnung von Pixeln: das skandalöse Waisenmädchen ist heute ein anonymes Selfie-Opfer.
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Invitée par Galerie Strzelski  à exposition die Kunst ist spitzecsm_diekunstistspitze_2016_A6_794d91bda7—-

Exposition FABULATIONS – Galerie Gedok

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ELOISE COTTY & ELSA FARBOS

FABULATIONS // FORTZETZUNG DER AUSSTELLUNG // PROLONGATION DE L EXPOSITION

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ERÖFFNUNG der Ausstellung am Donnerstag, den 16.03.2017 um 19:30 Uhr laden wir Sie und Ihre Freunde ganz herzlich im Institut français ein.

J’ai le plaisir de vous inviter au VERNISSAGE de l’exposition Fabulation le jeudi 16 mars à 19h30 à l’institut français à Stuttgart, DE.

Mit Performance von Elsa Farbos, Elise Chemla (Cello) und Nina Kazourian (Viola) um 19:45.

Avec une performance de Elsa Farbos, Elise Chemla (violoncelle), et Nina Kazourian (alto) à 19h45.

Dauer der Ausstellung /Durée de l’exposition: 14.03. – 07.04.2017

Öffnungszeiten/Heure d’Ouverture:

Di – Do 10 – 18 Uhr

Fr 10 – 16 Uhr

INSTITUT FRANÇAIS STUTTGART-Schloßstraße 51, 70174 Stuttgart -www.institutfrancais.de/stuttgart

Wie  für die meisten Kinder in Frankreich waren Jean de la Fontaines Fabeln auch fester Bestandteil in der Erziehung von Elsa Farbos und Éloïse Cotty.Durch  Auswendiglernen und lautes Vortragen haben sich die gedichtähnlichen Texte in der Grundschulzeit tief ins Gedächtnis eingeprägt. Nun kehren die Künstlerinnen, die u.a an der Kunstakademie Stuttgart studierten, mit Abstand und einem geschärften Blick auf die Welt zu diesen Meisterwerken der französischen Literatur zurück. Als wäre das thema unbewusst in ihrer Vorstellungswelt aktiv geblieben, haben sie unabhängig voneinander künstlerische Arbeiten zu den berühmten Fabeln entwickelt . Aufeinandertreffen der verschiedenen Medien und Herangehensweisen – Malerei und Installation – setzen die Künstlerinnen diese Kulturelle Refenrenz in einen lebendigen Dialog.

Les fables de Jean de la Fontaine, comme c’est le cas pour tous les enfants en France, font partie de l´éducation d´Elsa Farbos  et Éloïse Cotty. Lues à haute voix, apprises par cœur et répétées devant la classe, elles se sont inscrites dans leurs mémoires. Cependant à l’âge de 10ans, les métaphores animalières, critiques acerbées de la société du 17ème siècle ne trouvaient pas encore toute leur signification dans l’expérience de leurs vies à peine commencées. Ce n’est qu’aujourd’hui avec un recul sur ces textes et un regard plus aiguisé du monde notamment enrichi par leur parcours artistique qu´elles reviennent sur ces fables. Par le biais  d´approches différentes et de deux mediums – peinture et installation – les artistes s´approprient cette référence culturelle en créant un dialogue vivant.

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ERÖFFNUNG der Ausstellung am Donnerstag, den 02.03.2017 um 19:30 Uhr laden wir Sie und Ihre Freunde ganz herzlich in die GEDOK-Galerie ein.

VERNISSAGE de l’exposition Fabulations le jeudi 02 mars à 19h30 à la galerie Gedok à Stuttgart, DE.

Mit einer Performance von Elsa Farbos und Elise Chemla (Cello).
Avec une performance de Elsa Farbos et Elise Chemla (violoncelle)

Dauer der Ausstellung /Durée de l’exposition: 03.03. – 05.03.2017
Öffnungszeiten/Heures d’Ouverture:
Fr 16-19 Uhr
Sa-So 13-16 Uhr

Gedok-Galerie • Hölderlinstraße • 17. 70174 Stuttgart. • Tel. : 0711-297812. • www.gedok-stuttgart.de

 

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ERÖFFNUNG der Ausstellung am Donnerstag, den 02.03.2017 um 19:30 Uhr laden wir Sie und Ihre Freunde ganz herzlich in die GEDOK-Galerie ein.

VERNISSAGE de l’exposition Fabulations le jeudi 02 mars à 19h30 à la galerie Gedok à Stuttgart, DE.

Mit einer Performance von Elsa Farbos und Elise Chemla (Cello).
Avec une performance de Elsa Farbos et Elise Chemla (violoncelle)

Dauer der Ausstellung /Durée de l’exposition: 03.03. – 05.03.2017
Öffnungszeiten/Heures d’Ouverture:
Fr 16-19 Uhr
Sa-So 13-16 Uhr

Gedok-Galerie • Hölderlinstraße • 17. 70174 Stuttgart. • Tel. : 0711-297812. • www.gedok-stuttgart.de

Chez moi, Paris

 

Voilà un concept pour le moins surprenant. Et accueillant !

Ça commence par une jolie vitrine dans la petite rue Hérold, juste derrière la place des Victoires. On hésite presque à entrer. Si les rideaux sont tirés le soir parce que Jean-Baptiste y habite, ils s’ouvrent la journée, laissant la place à un appartement chaleureux où tout, absolument tout, est à vendre !
Un appartement boutique donc. Du mobilier aux luminaires en passant par la déco, les œuvres d’art, les bouquins de la bibliothèque, ou les tapis, vous avez le droit de repartir avec ce que vous voulez. Non seulement c’est une excellente idée mais en plus la sélection proposée est vraiment réussie. Ce sont des pièces en série limitée de jeunes designers tels que Barbaseb ou polit.  Sur un portant, les vêtements aux volumes architecturés sont signés Coperni Femmes.
Filez découvrir ce concept store d’un nouveau genre.

 

P1020216                                                                                                                                                                                                       Dessins et peinture Éloïse Cotty

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 Les Arts´Franchis

 

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Exhibition- Créatures- Gallery CROUS- Paris

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Dossier de presse :

Dès portraits aux paysages aquatiques, en passant par les trophées de pêche, de la figuration à l’abstrait, Eloïse Cotty s’attarde sur ses contemporains, sur le monde dans lequel elle évolue. Sa peinture parfois sans concession dévoile un regard cynique mais non sans sensibilité sur les sujets qu’elle approche. Son style  et ses idées s’affirment d’un sujet à l’autre, recherchant avant tout une vibration picturale au delà du sujet lui-même.
Sujets populaires:
Communautés “Facebook”, trophée de pêche , les supporters, figurent parmi les sujets communautaires qu’ elle étudie. Ces thèmes ne sont pas choisis au hasard. En effet ses sources d’inspiration viennent pour la plupart du réseau internet qui propose une richesse infinie de matières premières. Les thématiques abordées ici ont un point commun: Quelque soit le sujet, les photographies d’un même thème sont codifiées. Ce qui apparait à l’auteur comme une photographie originale et personnelle devient banal et grégaire une fois posté sur le net. Point de départ de la réflexion picturale sur les communautés, la peintre redonne à ces images un caractère singulier. Laissant libre cours à son imagination, Eloïse Cotty se plait à mélanger les genres: motifs, portraits, paysage, aplats, construction,
déconstruction, mélanges de plusieurs images entre elles, intervention d’un élément improbable telle un poulpe enlaçant des jeunes filles dans
une piscine ou encore d ‘un équidé parmi de jeunes supporters.
Minimiss:
Dans ce sujet  populaire, Eloïse Cotty s’intéresse à un phénomène établi aux Etats Unis: les Mini-Miss. Ces fillettes prennent part aux concours de beauté
dès leur plus jeune âge et paradent devant un jury au regard aiguisé. Elles doivent révéler leurs “talents” affublées  de robes carnavalesques. Leur
hyper sexualisation dérange, la peintre n’en fait plus des reines de beauté, au contraire elle leur donne des allures de poupées gonflables. la jeune femme nous
dévoile ici l’univers équivoque qui règne autours de ces demoiselles manipulées par des parents qui les sexualisent sans retenue. La présence d’une faune
truculente dans ces scènes est des métaphores du public qui entoure ces fillettes. Ainsi les spectateurs des mini-miss sont mis en scène dans une jungle,
symbolisés par des singes au regard libidineux. La démarche provocatrice de l’artiste, sa représentation d’un grotesque étudié sont soutenues par une composition rigoureuse.
Bassins:
Avec sa série “Bassins”, l’artiste se réinvente, les portraits ont disparu, la figuration évacuée. Ces paysages aquatiques lui permettent des’éloigner de sa méthode de travail habituelle en se détournant de ses modèles photographiques. L’aspect purement pictural devient majeur. La touche est tantôt précise, minutieuse, tantôt puissante, nerveuse, imposante. L’harmonie est recherchée, les couleurs s’affrontent, vibrent. Les matièresutilisées vernis et peintures se repoussant l’un à
l’autre, laissent une place au hasard.
Portrait de famille:
Attachée à cette thématique depuis ses débuts en peinture, Eloïse Cotty aborde plus particulièrement le portrait de Famille. Influencée par les portraits familiaux argentiques durs et froids du début de la photographie, elle s’approprie  le sujet avec un regard novateur. Ces représentations figées et inexpressives ont fourni la matière première recherchée à laquelle la peinture redonne un sens, une histoire, une âme. La peintre a trouvé là de vastes champs d’investigations sur la forme comme sur le fond. Ainsi la série Family, explore les thèmes du clan, du matriarcat ou du pouvoir.
art actuel

EXHIBITION – Opening exhibition – September – October 2013 – Lyon – France

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Une année de prépa à l’école des Beaux-arts de Lyon, puis deux ans à la Villa Arson, où elle aperçut, une étoile filante, Yves Robert, en rupture de ban avec la ville de Lyon, et bientôt, nommé à l’école des Beaux-arts de Toulouse, cité où il s’ennuie. Comment peut-on s’ennuyer à Toulouse ? Eloïse obtint son diplôme à la villa Arson, puis, s’inscrivit à l’école des Beaux-arts de Stuttgart, où elle poursuit encore ses études. Notons au passage qu’Eloïse Cotty fit un stage très formateur auprès de Barthélémy Toguo, artiste camerounais que j’avais rencontré au Centre d’arts plastiques de Saint-Fons, alors dirigé oar Jean-Claude Guillaumon. Barthélémy Toguo avait tout compris du rôle du concept dans l’art contemporain. Etudiant, notamment à Düsseldorf, il passait souvent des frontières, et se sentait accablé par les demandes réitérées, concernant son identité. Il conçut alors des copies en papiers, en bois de son pays d’origine, dont il fit des sculptures. Il doit, à cette idée remarquable, une partie de l’intérêt qu’il suscita dans le monde de l’art contemporain. D’ailleurs, Thierry Raspail, toujours à la pointe de l’actualité, lui offrit une place dans une biennale. Eloïse Cotty est inspirée par l’univers de Facebook, et son succès planétaire, sur Internet. Elle peint les acteurs de ce phénomène révélateur de notre époque, à partir de photographies d’amis ou d’amies. Certaines œuvres furent réalisées pendant son séjour, à la Villa Arson. Son travail, développe également un regard critique sur les fêtes Facebook, le côté ostentatoire nourri d’un besoin de reconnaissance peopolisée. Eloïse Cotty utilise la peinture, comme médium, sans mélange. Pas pour peindre sur son chevalet, mais, pour exprimer librement sa perception du monde, sans se priver parfois de quelques riches emprunts à l’histoire de l’art : Figuration Narrative, Georg Baselitz, etc . Chez les Cotty, l’histoire de l’art est une passion. Sa maman fut élève de l’Ecole nationale des Arts décoratifs. Elle eut, comme professeur, dont elle garde un souvenir inoubliable, Michel Ragon et Pierre Cabanne. J’ai rencontré Eloïse Cotty dans un salon d’art, l’Hivernal, comme quoi, j’ai raison d’affirmer qu’il est toujours possible de faire des « rencontres » dans ces lieux officiels. Eloïse Cotty doit persévérer dans sa démarche, sa manière révèle une énergie, une aptitude à observer notre univers qui lui permettront au fil du temps, d’affronter les multiples aléas du parcours d’un artiste engagé, dans l’art contemporain. « Facebook ». Exposition inscrite dans le programme « Résonance » de la 12e Biennale d’Art contemporain de Lyon. Jusqu’au 12 octobre 2013. 124 rue de Sèze. Lyon 6e. Lundi-Vendredi 15h-19h. Samedi 10h-13h.

Alain Vollerin

 

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